J'avais des doutes quant à mon hypersensibilité sensorielle, car plusieurs choses ne collaient pas avec les descriptions que l'on fait des personnes autistes et hypersensibles. Pourtant, à force de lecture, j'ai fini par comprendre que j'étais aussi concernée et pas qu'un peu, mais à mon niveau...
Tout d'abord, je tenais à faire la différence entre l'hypersensibilité et l'hyperesthésie.
Les deux se traduisent par une perception accrue de stimuli qui, normalement, ne causent aucune gêne. C'est une sensibilité exacerbée d'un ou plusieurs sens. L'hypersensibilité provoque une sensation désagréable, parfois à la limite du supportable. Elle peut être la cause de crises d'angoisse, de colères, ou autre. L'hyperesthésie, quant à elle, provoque des douleurs fortes à insupportables.
Reprenons dans l'ordre. En ce qui me concerne...
L'hypersensibilité auditive
C'est une hypersensibilité au bruit et aux sons. Cela ne veut pas forcément dire que tous les bruits me vrillent les tympans, mais juste qu'il m'est difficile de trier les sons ambiants, que lorsque plusieurs personnes parlent, il m'est difficile de me concentrer sur une seule voix, je me retrouve donc à suivre plusieurs conversations en même temps et malgré moi. S'il y a de la musique d'ambiance, je ne pourrai pas m'empêcher de l'entendre, de l'écouter. Si elle me plait, je serai déconcentrée d'une éventuelle discussion. Pour moi, écouter de la musique est une activité en soi qui m'empêche de vraiment tenir une conversation. Je peux d'ailleurs écouter la même musique - ou juste un extrait parfois même - pendant des heures, des jours, des semaines... Mais, cela veut également dire qu'un son léger que peu de gens perçoivent peut devenir gênant et me déconcentrer, créer un agacement qui me forcera à trouver l'origine du son pour l'arrêter si cela est possible. Cela veut aussi dire que le bruit de la ville, des voitures, une moto qui passe, quelqu'un qui crie, etc. sont des bruits qui, à la longue, peuvent devenir source d'une énorme fatigue, engendrer des migraines, empêcher le repos, etc. Un bruit fort et répétitif, s'il n'a pas de raison valable (par exemple quelqu'un qui tape avec un service sur une table, ou quelqu'un crie des onomatopées, ou autre), peut très rapidement me tendre, me rendre nerveuse et agressive. Les gens qui parlent fort continuellement me fatiguent particulièrement. En revanche, certains sons peuvent m'apaiser, les sons "naturels" comme le chant des oiseaux, une rivière qui coule, la pluie, la foudre... Je n'ai encore jamais pu profiter de ces sons relaxants de façon naturelle sans être gênée par un arrière-fond vrombissant de voiture et autres véhicules. On me dit généralement que j'exagère quand je m'en plains.
Contrairement à ce que je pensais, cela n'est absolument pas lié à qualité auditive de la personne concernée. Moi-même, il m'arrive souvent de ne pas bien comprendre les mots, même si j'entends parfaitement qu'on me parle. Autant je peux entendre, mais pas toujours saisir le sens.
L'hypersensibilité visuelle
Il s'agit là d'une hypersensibilité à la lumière, aux images qui défilent rapidement, à certaines intensités de couleurs, etc. Personnellement, c'est la lumière qui me pose le plus de problèmes me créant des maux de tête difficilement supportable (allant parfois jusqu'à la nausée). On m'a souvent comparée à un vampire à vivre les rideaux tirés, dans certains cas les volets fermés, parfois sans même allumer les lampes. J'ai toujours préféré les lumières douces et/ou indirectes, tirant sur le jaune ou l'orange, plutôt que la lampe plafonnier d'un blanc éclatant. Pareil pour le soleil qui a toujours un souci pour moi, au point qu'il m'arrive de rester chez moi juste parce qu'il n'y a pas de nuage dans le ciel, ayant toujours eu du mal à me trouver des lunettes de soleil qui m'aillent. Et puis je dois avouer que je ne suis pas fan du style "lunettes de soleil dedans comme dehors". Il y a aussi la luminosité des écrans qui me donne la migraine. J'ai donc modifié la couleur de mes écrans comme je pouvais pour les teinter légèrement de jaune.
J'ai également pu remarquer que les images qui clignotent ou ne sont pas fixes (comme une caméra tenue sur l'épaule qui fait valdinguer l'image dans tous les sens, une des raisons qui fait que je n'ai pas pu voir le film "REC" en entier), ou un mouvement rapide à l'écran, surtout s'il est continu (un battement d'ailes, une hélice qui tourne, ce genre...) me faisaient mal aux yeux.
Il s'agit là d'une hypersensibilité à la lumière, aux images qui défilent rapidement, à certaines intensités de couleurs, etc. Personnellement, c'est la lumière qui me pose le plus de problèmes me créant des maux de tête difficilement supportable (allant parfois jusqu'à la nausée). On m'a souvent comparée à un vampire à vivre les rideaux tirés, dans certains cas les volets fermés, parfois sans même allumer les lampes. J'ai toujours préféré les lumières douces et/ou indirectes, tirant sur le jaune ou l'orange, plutôt que la lampe plafonnier d'un blanc éclatant. Pareil pour le soleil qui a toujours un souci pour moi, au point qu'il m'arrive de rester chez moi juste parce qu'il n'y a pas de nuage dans le ciel, ayant toujours eu du mal à me trouver des lunettes de soleil qui m'aillent. Et puis je dois avouer que je ne suis pas fan du style "lunettes de soleil dedans comme dehors". Il y a aussi la luminosité des écrans qui me donne la migraine. J'ai donc modifié la couleur de mes écrans comme je pouvais pour les teinter légèrement de jaune.J'ai également pu remarquer que les images qui clignotent ou ne sont pas fixes (comme une caméra tenue sur l'épaule qui fait valdinguer l'image dans tous les sens, une des raisons qui fait que je n'ai pas pu voir le film "REC" en entier), ou un mouvement rapide à l'écran, surtout s'il est continu (un battement d'ailes, une hélice qui tourne, ce genre...) me faisaient mal aux yeux.
Bien que j'aie une mauvaise vue - je suis astigmate - et que cela peut également être la cause de mes maux de tête fréquents, j'ai une bonne définition visuelle. En gros, je vois beaucoup de détails, flous et indéfinis, mais nombreux malgré tout. Je ne vois pas une masse floue, mais pleine de détails flous. Je cherche parfois inconsciemment à comprendre ce que je vois, ce qui peut également être très fatigant, pour les yeux, mais globalement aussi.
L'hypersensibilité tactile ou cutanée
Cela concerne les sens "tactiles". Pour ce qui est de la sensibilité cutanée, c'est un peu particulier chez moi. Certains contacts doux ou fermes peuvent me plaire. J'apprécie les massages, j'adore qu'on me coiffe les cheveux, j'arrive à me détendre quand on me caresse le dos, etc. Mais je peux également être très chatouilleuses à certains endroits au point de devenir violente pour faire cesser le contact, ou certains effleurements me sont très désagréables, voir douloureux - notamment dans la nuque - s'ils sont constants et au même endroit. J'utilise souvent l'expression "avoir l'impression qu'on me creuse une tranchée dans la peau" à force d'effleurement. Je n'aime pas quand des inconnus me touchent ou m'effleurent, dans les transports publics par exemple, je n'aime pas faire la bise ou serrer la main des gens. Je suis très sensible du cuir chevelu, comme je dis plus haut, cela peut être agréable si on me masse la tête ou qu'on me coiffe, mais très douloureux s'il y a la moindre tension sur mes cheveux. Me brosser est extrêmement pénible, voilà pourquoi je ne le fais pas forcément si je n'en ai pas besoin. Du coup, je m'attache souvent les cheveux pour éviter au maximum l'allure "cheveux emmêlés".
Cette hypersensibilité est un vrai problème au niveau vestimentaire, car je supporte très peu de matière sur ma peau. Pour faire simple, je me tourne généralement vers le coton, les habits amples, confortables. Voilà pourquoi je suis rarement sur mon trente-et-un. J'essaie un maximum de faire passer le fait que je sois habillée d'un survêtement large pour me rendre quelque part, j'évite les occasions où il faut trop bien s'habiller ou alors cela devient une vraie corvée. Il existe peu de robes en coton qui soient assez chic pour se rendre à un mariage, par exemple. Je supporte très mal les bas et autres du genre. Les étiquettes des vêtements me chatouillent parfois à m'en arracher la peau si elles me chatouillent, mais plaquées contre la peau, ça ne me gène plus. C'est aussi pour ça que je porte peu (voir pas) de bijoux. Les colliers me chatouillent, les montres ou bracelets me pèsent sur le poignet, les boucles d'oreilles me dérangent, etc. Je peux en porter pour de courts moments, mais pas continuellement. Seules les bagues sont relativement supportables, mais je les sens toujours.
Après, on parle aussi parfois de thermoception (perception de la température). Dans ce domaine, je me régule très mal et suis hypersensible autant à la chaleur qu'au froid. J'ai beaucoup de peine à trouver un juste milieu où je me sente à l'aise.
Il y a également la proprioception (perception du corps) qui ne me concerne pas. Cette sensibilité concerne la perception des positions des différents membres et des parties du corps, allant parfois jusqu'aux organes internes.
Et enfin, on évoque aussi parfois la nociception (perception de la douleur accentuée ou absente). Étonnamment, alors qu'une caresse peut me brûler et qu'un cheveu tendu peut me faire grimacer et pleurer, je supporte assez bien la douleur (j'ai souvent des bleus aux jambes sans que je ne me rappelle pas m'être cognée, je me suis fait tatouer, plusieurs heures d'affilée, sans me plaindre, etc.).
Cela concerne les sens "tactiles". Pour ce qui est de la sensibilité cutanée, c'est un peu particulier chez moi. Certains contacts doux ou fermes peuvent me plaire. J'apprécie les massages, j'adore qu'on me coiffe les cheveux, j'arrive à me détendre quand on me caresse le dos, etc. Mais je peux également être très chatouilleuses à certains endroits au point de devenir violente pour faire cesser le contact, ou certains effleurements me sont très désagréables, voir douloureux - notamment dans la nuque - s'ils sont constants et au même endroit. J'utilise souvent l'expression "avoir l'impression qu'on me creuse une tranchée dans la peau" à force d'effleurement. Je n'aime pas quand des inconnus me touchent ou m'effleurent, dans les transports publics par exemple, je n'aime pas faire la bise ou serrer la main des gens. Je suis très sensible du cuir chevelu, comme je dis plus haut, cela peut être agréable si on me masse la tête ou qu'on me coiffe, mais très douloureux s'il y a la moindre tension sur mes cheveux. Me brosser est extrêmement pénible, voilà pourquoi je ne le fais pas forcément si je n'en ai pas besoin. Du coup, je m'attache souvent les cheveux pour éviter au maximum l'allure "cheveux emmêlés".Cette hypersensibilité est un vrai problème au niveau vestimentaire, car je supporte très peu de matière sur ma peau. Pour faire simple, je me tourne généralement vers le coton, les habits amples, confortables. Voilà pourquoi je suis rarement sur mon trente-et-un. J'essaie un maximum de faire passer le fait que je sois habillée d'un survêtement large pour me rendre quelque part, j'évite les occasions où il faut trop bien s'habiller ou alors cela devient une vraie corvée. Il existe peu de robes en coton qui soient assez chic pour se rendre à un mariage, par exemple. Je supporte très mal les bas et autres du genre. Les étiquettes des vêtements me chatouillent parfois à m'en arracher la peau si elles me chatouillent, mais plaquées contre la peau, ça ne me gène plus. C'est aussi pour ça que je porte peu (voir pas) de bijoux. Les colliers me chatouillent, les montres ou bracelets me pèsent sur le poignet, les boucles d'oreilles me dérangent, etc. Je peux en porter pour de courts moments, mais pas continuellement. Seules les bagues sont relativement supportables, mais je les sens toujours.
Après, on parle aussi parfois de thermoception (perception de la température). Dans ce domaine, je me régule très mal et suis hypersensible autant à la chaleur qu'au froid. J'ai beaucoup de peine à trouver un juste milieu où je me sente à l'aise.
Il y a également la proprioception (perception du corps) qui ne me concerne pas. Cette sensibilité concerne la perception des positions des différents membres et des parties du corps, allant parfois jusqu'aux organes internes.
Et enfin, on évoque aussi parfois la nociception (perception de la douleur accentuée ou absente). Étonnamment, alors qu'une caresse peut me brûler et qu'un cheveu tendu peut me faire grimacer et pleurer, je supporte assez bien la douleur (j'ai souvent des bleus aux jambes sans que je ne me rappelle pas m'être cognée, je me suis fait tatouer, plusieurs heures d'affilée, sans me plaindre, etc.).
L'hypersensibilité olfactive
Il est question d'une hypersensibilité aux odeurs, bonnes ou mauvaises. De mon côté, les odeurs m’écœurent facilement. Tout ce qui est sucré, en particulier le chocolat, peut me donner la nausée. Je n'utilise pas de parfum et je retiens généralement ma respiration en traversant les rayons parfumerie dans les magasins. J'ai plus de peine avec les odeurs artificielles au point que je préfère l'odeur d'un tas de fumier que celui d'un jouet en plastique. Je n'aime pas particulièrement sentir les choses, car ça sent souvent trop fort. Alors que beaucoup de gens aiment l'odeur du bitume mouillé par la pluie, moi, cette odeur m'agresse littéralement et je ne supporte pas. Je grimace souvent lorsque je suis dans une cafétéria ou autres self du
genre, car bien souvent, les plats cuisent un peu trop, il y a beaucoup
de plats différents exposés et les odeurs se mélangent, etc. Ce qui ne veut pas dire que je reconnais toutes les odeurs. C'est souvent pour moi une "cacophonie" olfactive qui m’écœure plus qu'autre chose.
En réalité, c'est surtout un souci dans les lieux publics qui regorgent d'odeurs artificielles. Je dois avouer que je préfère presque l'odeur d'un tas de fumier - odeur relativement naturelle - à celle d'un parfum quand je suis enfermée dans une ascenseur.
Il est question d'une hypersensibilité aux odeurs, bonnes ou mauvaises. De mon côté, les odeurs m’écœurent facilement. Tout ce qui est sucré, en particulier le chocolat, peut me donner la nausée. Je n'utilise pas de parfum et je retiens généralement ma respiration en traversant les rayons parfumerie dans les magasins. J'ai plus de peine avec les odeurs artificielles au point que je préfère l'odeur d'un tas de fumier que celui d'un jouet en plastique. Je n'aime pas particulièrement sentir les choses, car ça sent souvent trop fort. Alors que beaucoup de gens aiment l'odeur du bitume mouillé par la pluie, moi, cette odeur m'agresse littéralement et je ne supporte pas. Je grimace souvent lorsque je suis dans une cafétéria ou autres self du
genre, car bien souvent, les plats cuisent un peu trop, il y a beaucoup
de plats différents exposés et les odeurs se mélangent, etc. Ce qui ne veut pas dire que je reconnais toutes les odeurs. C'est souvent pour moi une "cacophonie" olfactive qui m’écœure plus qu'autre chose.En réalité, c'est surtout un souci dans les lieux publics qui regorgent d'odeurs artificielles. Je dois avouer que je préfère presque l'odeur d'un tas de fumier - odeur relativement naturelle - à celle d'un parfum quand je suis enfermée dans une ascenseur.
L'hypersensibilité orale ou gustative
C'est tout ce qui est en rapport au goût et à la texture ce qui va dans la bouche, alimentaire ou non (aucun sous-entendu sexuel ici, même si, oui, cela peut également être concerné). De mon côté, je n'ai pas particulièrement de problème de goût. Ceux qui en souffrent peuvent parfois sembler difficiles pour choisir un plat, mais pour ces personnes, ce n'est pas seulement pas bon, c'est que cela leur donne envie de vomir. Donc autant qu'ils prennent le temps de bien choisir. De mon côté, ce sera davantage les textures qui me dérangent et peuvent me donner envie de vomir. Tout ce qui est un peu gluant ou gélatineux. Par exemple, je n'arrive pas à avaler un blanc d’œuf mal cuit, ou un flan maison qui sera beaucoup plus gluant qu'un flan industriel qui sera, grâce à divers ingrédients pas du tout naturels, plus ferme. J'ai beaucoup de mal avec les pâtes trop cuites aussi. Mais j'ai également de la peine à avaler des légumes filandreux coupés en relativement gros morceaux, bien que le goût me plaise, la texture de cette coupe ne me convient pas.
Ce n'est pas une sensibilité qui me gène. Je ne sais même pas si ça peut être considéré comme telle.
C'est tout ce qui est en rapport au goût et à la texture ce qui va dans la bouche, alimentaire ou non (aucun sous-entendu sexuel ici, même si, oui, cela peut également être concerné). De mon côté, je n'ai pas particulièrement de problème de goût. Ceux qui en souffrent peuvent parfois sembler difficiles pour choisir un plat, mais pour ces personnes, ce n'est pas seulement pas bon, c'est que cela leur donne envie de vomir. Donc autant qu'ils prennent le temps de bien choisir. De mon côté, ce sera davantage les textures qui me dérangent et peuvent me donner envie de vomir. Tout ce qui est un peu gluant ou gélatineux. Par exemple, je n'arrive pas à avaler un blanc d’œuf mal cuit, ou un flan maison qui sera beaucoup plus gluant qu'un flan industriel qui sera, grâce à divers ingrédients pas du tout naturels, plus ferme. J'ai beaucoup de mal avec les pâtes trop cuites aussi. Mais j'ai également de la peine à avaler des légumes filandreux coupés en relativement gros morceaux, bien que le goût me plaise, la texture de cette coupe ne me convient pas.Ce n'est pas une sensibilité qui me gène. Je ne sais même pas si ça peut être considéré comme telle.
L'hypersensibilité relationnelle
Cette hypersensibilité concerne une particularité qui relève du domaine psychiatrique et s'exprime par une susceptibilité exagérée dans les relations sociales. Bien qu'on m'ait de nombreuses fois signalé que je pouvais parfois me montrer agressive ou que mes questions ou propos pouvaient s'avérer déplacés, je ne pense pas être concernée par cette hypersensibilité-ci. Je ne pense pas être particulièrement susceptible bien qu'effectivement, je puisse être facilement touchée par des remarques ou critiques, mais parce que je ne saisis pas toujours le sarcasme de la part de gens qui ne sont pas des proches, et je manque aussi passablement de confiance en moi. Ce qui fait que je peux également être émue par un compliment, même si cela ne se remarque pas forcément. Aussi parce que je suis toujours un peu méfiante face à un compliment. Sachant à quel point il est difficile pour les gens d'en faire, cela cache bien souvent autre chose.
L'hypersensibilité vestibulaire
Cela désigne une forme de maladresse, une mauvaise gestion de ses mouvements. Je ne sais pas du tout si je suis concernée ou pas. Il m'arrive parfois d'être effectivement très maladroite, de façon relativement régulière. Mais cela n'a jamais été un réel problème et quand je suis attentive, j'arrive à éviter les accidents. Comme évoqué plus haut, je me retrouve souvent avec des bleus sur les jambes, preuve d'une certaine maladresse, mais sans que cela ne soit particulièrement pesant puisque je ne m'en rends pas compte.
Voilà pour ce qui est de mes hypersensibilités sensorielles.
Cela désigne une forme de maladresse, une mauvaise gestion de ses mouvements. Je ne sais pas du tout si je suis concernée ou pas. Il m'arrive parfois d'être effectivement très maladroite, de façon relativement régulière. Mais cela n'a jamais été un réel problème et quand je suis attentive, j'arrive à éviter les accidents. Comme évoqué plus haut, je me retrouve souvent avec des bleus sur les jambes, preuve d'une certaine maladresse, mais sans que cela ne soit particulièrement pesant puisque je ne m'en rends pas compte.Voilà pour ce qui est de mes hypersensibilités sensorielles.
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